L'homme/la femme derrière FinFactor : Marc Debaveye

FF : Bonjour Marc, quand avez-vous commencé à travailler chez FinFactor et pourquoi ?

J'ai commencé chez FinFactor le 1er mars 2020 et comme au début de ma carrière dans la finance, j'ai été très vite confronté à une nouvelle crise des marchés financiers, alors à la suite du "lundi noir" d'octobre 1987, aujourd'hui à la suite du virus COVID dont personne ne savait exactement quels traitements allaient être trouvés pour contrôler une telle pandémie. En revanche, nous savons avec quelle rapidité la science pharmaceutique a pu mettre au point un vaccin qui a mis fin à cette misère. Elle a également marqué le début d'une reprise sans précédent des marchés financiers.

Avec FinFactor, nous avons toujours continué à communiquer de manière très intense et transparente avec nos clients pendant cette période, en cherchant des solutions pour protéger au mieux les portefeuilles.

C'est aussi ce qui me séduit le plus dans le modèle de FinFactor. Le client est l'alpha et l'oméga de notre activité. Sans aucune restriction, nous pouvons le rencontrer de la manière la plus appropriée et la plus transparente, sans aucun conflit d'intérêt. De plus, FinFactor est composé d'une belle brochette de professionnels chevronnés qui souhaitent tous se mettre au service du client de manière éthique et transparente.

FF : Quels sont vos centres d'intérêt ?

Cela peut paraître étrange, mais je m'intéresse tellement à divers domaines et sujets qu'il m'est parfois difficile de me concentrer. Cela inclut l'économie, la politique, la culture, la religion, la science, la musique, l'architecture, la mobilité, l'énergie, etc. J'essaie de lire le plus possible sur tous ces sujets et je pourrais y passer des jours entiers si mon entourage ne me faisait pas remarquer, à juste titre, qu'il y a d'autres choses importantes dans la vie. Ce qui est intéressant dans tous ces domaines, c'est qu'ils se retrouvent toujours plus ou moins dans l'évolution des marchés financiers. C'est une bonne leçon à retenir !

Qu'est-ce qui vous inquiète ?

Heureusement, je n'ai pas encore eu à me préoccuper beaucoup de la santé et du bonheur familial, mais ce qui me préoccupe, c'est l'insouciance avec laquelle l'humanité traite son environnement, son climat, sa faune et sa flore. Notre prise de conscience s'est considérablement accrue ces dernières années, mais nous devrons faire davantage pour que le monde reste vivable pour les générations futures. De nombreuses sonnettes d'alarme sont tirées à ce sujet, mais apparemment nous ne les entendons pas assez. Je me rends compte que le point de départ de toute sagesse se trouve en nous-mêmes, c'est pourquoi j'essaie d'y prêter beaucoup d'attention dans toutes mes pensées et mes actions.

FF : Qu'est-ce qui vous rend heureux ?

Beauté, harmonie et équilibre. Trois mots que l'on retrouve dans de très nombreux domaines, qu'il s'agisse des relations familiales, de la santé, de la société, de la nature, de la musique, etc. D'ailleurs. on entend en fond sonore "Here comes the Sun" des Beatles. Cela ne peut que vous rendre heureux, n'est-ce pas ?

Bien entendu, le bonheur de ma famille, de mes proches et de mes amis me tient à cœur. Leur (mal)bonheur est aussi le mien. Et je ne demande pas mieux que tous les gens, pendant la courte période où ils sont autorisés à errer sur cette planète, puissent vivre une vie saine. Malheureusement, ce n'est pas le cas.

FF : Quel est votre meilleur investissement ?

En 1987, j'ai pu assister au lancement de l'épargne-pension dans le cadre du troisième pilier, qui permet aux personnes physiques de verser annuellement un montant limité (déductible de l'impôt) dans un fonds ou une assurance à titre d'épargne-pension complémentaire. Je l'ai fait pour mon épouse et moi-même chaque année par le biais d'un fonds et j'ai ainsi pu constater que le fait de rester continuellement investi dans les marchés financiers à long terme s'est avéré payant, et ce en dépit de diverses crises financières.

S'agit-il de mon meilleur investissement ? Non, mais certainement l'un des meilleurs !

Par ailleurs, je soutiens toujours que les rendements ne doivent pas toujours être considérés comme purement financiers. Il existe de nombreux investissements, tels qu'une éducation solide pour vos enfants et un logement de qualité. Le rendement de ces investissements ne peut pas toujours être exprimé en pourcentage, mais le rendement émotionnel et social est inestimable.